Suite à la lecture du
texte de Rémi Thibert, j’ai appris qu’il y avait 4 types d’intégration des TIC
en éducation. Le premier niveau d’intégration est celui de la découverte, où l’enseignant n’utilise
les TIC qu’à des fins personnelles. Le deuxième type est celui de l’adoption,
où l’enseignant utilise les TIC à des fins professionnelles, mais avec aucun
changement dans sa pédagogie. Le troisième type est celui de l’appropriation,
où la pédagogie de l’enseignant est plus interactive. Le quatrième et dernier
type est celui de la création, ici l’enseignant utilise les TIC de façon
innovante, en création et en production.
On nous dit que la majorité des enseignants reste dans les deux premiers
types, soit ceux de l’intégration et de l’adoption. Ce qui est très dommage
puisque les TIC ne sont pas utilise è leur plein potentiel avec les élèves. Je
crois donc que des cours d’intégration des TIC en classe, comme le cours
PPA-1114, sont nécessaires lors le la formation initiale des maitres. Ces cous vont permettre au futur et aux
nouveaux enseignants de pouvoir bien utiliser les TIC en classe dans leur pédagogie.
Comme je viens de le
préciser, je crois que l’intégration des TIC par les enseignants est importante.
Par contre, je trouve que dans notre formation universitaire en enseignement,
on ne nous donne pas le bon exemple. On nous dit d’intégrer les TIC dans nos
techniques d’enseignement, de faire utiliser les TIC aux élèves et de varier
nos techniques d’enseignement. Nos professeurs eux, en majorité, n’utilise
seulement les TIC que pour faire une présentation Power Point. Il est rare qu’on
nous fait utiliser le TIC en classe pour apprendre, comme on nous dit de faire
avec nos futurs élèves. Je crois qu’il serait nécessaire de sensibiliser la
réalité des nouvelles technologies en pédagogie aux professeurs de la formation
initiale des maîtres.
Le point que tu avances est très intéressant. Il est vrai, dans la formation intiale des maîtres, qu'il a souvent contradiction entre ce qui nous est dit et ce que nous vivons en tant qu'élèves. On nous dit de sortir du cadre pré-établi, mais on suit toujours des cours magistraux. De plus, j'ai souvent l'impression, en enseignement, qu'il est beaucoup plus difficile d'intitier des choses qu'on n'a pas vécues. Par exemple, je me sens peu à l'aise d'utiliser le portfolio avec mes élèves du secondaire, parce que je ne l'ai pas vécu en tant qu'élève à l'époque. Bref, ton billet soulève beaucoup de questions et je serais ravie de débattre de tout cela avec toi!
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